J'aime bien ce mot, cafouillage, c'est mignon je trouve, même si c'est pas évident à dire.
Hier, j'ai donc cafouillé, ça a tout chié sur mon blog au niveau des images et j'ai passé 2h30 à tout réparer. J'ai perdu un précieux temps mais quand tout est redevenu normal, j'étais fière du long travail accompli.
En revanche, mon shoe choice se complique, puisque pour reconfectioner mon collage, j'ai dû retourner sur le site. Tout pile quand tombait la nouvelle collection...
Face à tous ces aléas, pas de vrai billet ici aujourd'hui juste un rappel de l’existence d'Access, où vous trouverez plusieurs de mes crimes délit avis. Allez aussi voir là bas si j'y suis, et puis si vous avez des questions n’hésitez pas. Et mon nouveaux carnet d'adresses se remplie de jours en jours alors que ma copine Ludi confirme son talent.
Des petites choses à déblatérer :
Et puis j'envisage un détour par Leroy Merlin parce que j'ai la bizarre envie de peinturlurer et de papier peindre mon chez moi. Le pire est donc encore à venir. Et Bob l'Eponge a retrouvé sa place.
Ma vie est exaltante.
Le retour, entre la Bretagne et Paris, ne fut pas une mince affaire mais c'est bien rondement que je l'ai mené. Enfin presque... parce que déjà, Maman flippait qu'il y ait de la circulation à l'entrée de Vannes, pour cause de la grande braderie annuelle. Et puis c'était le jour du marché à Muzillac. Du coup, elle m'a fait levé aux aurores (7h30) pour être sure que j'aurai mon train. Comme de prévisible, je m'étais couchée tard la veille, suite à une conversation avec l’adorable FILF de l’hôtel et comme de prévisible, j'avais bien la tête dans le potage au matin. Mon train était à 10h20 et généralement il faut quarante bonnes minutes pour nous rendre à Vannes depuis l’hôtel. Hôtel qu'on a quitté à 8h30... et bien sur, il n'y avait absolument pas de circulation. J'étais à la gare à 9h et ma mère m'y a lâchement abandonné pour aller s'acheter des robes au Comptoirs des cotonniers. Tant mieux pour elle, tant pis pour moi qui ai passé le temps sur avec dans Nietzsche.
[Via DiamondOcean]
La première partie du voyage en train, j'étais jouasse parce que j'avais deux sièges pour moi, ce qui m'a permis de m'étendre et de roupiller. Malheureusement, après un arrêt à Rennes, une jeune madame s'est installée à mes côtés et du coup, j'avais plus autant de place pour jambes. C'est alors que j'ai décider de fredonner de toute la BO d'Anastasia. Trois fois (le voyage fut long). Je peux être très pénible comme fille.
Je vous passe les détails de l'extirpation de moi-même et de ma valise sur les quais de Montparnasse un vendredi d'aout, pour en venir au passage taxi. Beh ouai, je me voyais mal divaguer dans le métro avec tous mes sacs et ma gueule de bois! Manque de bol, le taxi & moi dedans avons croisé mon banquier... à qui j'ai promis de "faire des économies". Aussi ai-jei essayé de me cacher dans mon sac à main mais je crois qu'il a reconnu mes couettes.
Une fois rentrée dans mon chez moi pour déjeuner (parce j'avais faim en fait), je fus prise d'une pulsion ménagère ; j'ai décongelé le frigo, le truc que je déteste faire (même si j'ai un mini-frigo) vant d'enchainer avec quatre lessives et 1h30 à la Poste ( z'avait perdu mon gros paquet. Comme d'habitude).
De fil en aiguilles, j'ai réussie à mettre fin à tous ces tourbillons logistiques pour enfin me poser devant mon ordinateur retrouvé.
Le truc c'est que j'ai un peu perdu mes bonnes habitudes et que , en sortant faire les courses, j'ai laissé mes clés DANS l'appart. La porte était fermée. J'étais de l'autre côté... Fort heureusement, j'ai la chance de vivre au premier étage et d'être un peu chatte baroudeuse dans l'âme. Je suis donc grimpée sur toit par le biais de la gouttière (que j'ai eut peur de voir craquer), j'ai fait du toboggan pieds nus sur un toit en tôles, j'ai hurler au monde aux voisins que j'étais la plus forte et je suis rentrée chez moi en escaladant la rambarde de la fenêtre restée ouverte (non sans avoir dégagé du toit toutes les saloperies qui y prenaient racines).
Cet été, je m'épate.
Attentions, ces deux activités sont bien distinctes l'une de l'autre!
Que je vous explique.
Pour la première fois, j'ai eut la chance de rencontrer, en vrai de vrai, ma jolie blogo copinette Eol dont les recettes m'inspirent depuis quelques temps déjà. En effet, j'ai profité de mon échappée occidentale pour la prendre en otage lui intimer l'ordre la supplier de venir me retrouver sur un petit port situer entre nous. Chose dite chose faite (on ne déconne pas entre blogueuse au niveau promesse) et c'est lundi que nous nous sommes retrouvées pour siroter un café/coca, pour papoter, pour nous balader et pour faire du shopping en bonnes femelles épanouies que nous sommes. Faut dire qu'elle est toute aussi sympa en vrai Eol et qu'elle mérite d'être connue cette jeune femme pleine de ressources.
[via Artpixie]
Ceci étant, je dois avouer que pour ma part, j'étais un peu mollassonne du bulbe, étant donné que je sortais d'un soin « nomade » consistant à m'enduire d'argile, à me pétrir le corps avec et à me massouiller les « extrémités » (du corps). Le tout par des mains expertes. Autant vous dire que Lilith fut transportée dans un au delà aux senteurs marocaines, qu'elle a plané dans une semi rêverie d'une agréable douceur et qu'elle fut amenée à découvrir des points de sensibilité et des contrées insoupçonnées à l'intérieur même de son corps.
Toute molle que j'en suis sortie...
Je ne vous décris plus les splendides apéros (au chouchen), pieds dans l'eau et cheveux au vent, ni les diners à bases de homard fondant, de légumes croquants et d'émulsions gouleyantes. Vous risqueriez de m'en vouloir.
J'enchaine donc directement avec le « soin tendresse pour le visage » auquel j'ai eu droit. Au menu : plusieurs masques, crèmes et lotions, ainsi qu'un massage des plus doux sur ma petite face chérie. Mais le plus sympa étrange original de la chose reposait dans l'expérience de momification. Si si, vous avez bien lu, Lilith a été momifiée en salle de soin. En effet, on m'a appliqué un masque des plus agréablement odorant (à la pomme verte), puis la madame a ajouté par dessus des bandes de gaz qu'elle a aspergé de mousse (genre chantilly) avant de recouvrir le tout – une fois encore – de gaz. Et elle m'a laissé végéter comme ça pendant un bon quart d'heure. Au début ça m'a fait marré et tout, mais au bout de 4 minutes 37 j'ai commencé à me demander si j'allais pas finir par me calcifier.
J'ai paniqué en silence - j'étais baillonnée par les bandages à la chantilly - et j'ai cherché à m'évader mais la table de soin était trop haute et je voyais d'une moitié d'oeil (elle avait prévue le coup ma tortionnaire). Quand elle est revenue, j'ai voulu faire "ouf" mais j'ai avalé de la mousse. Je me suis donc tue en essayant de retrouver mon calme. La madame m'a démomifié, m'a espongé et m'a recrémé. Puis elle m'a laissé filer et c'est au moment de quitter la salle de tortures que je me suis vue dans un miroir... Woaw! C'est mon visage ça? Ma peau à moi, z'êtes sur? J'avais littéralement muée. En touchant mon visage de ma main, je me suis trouvé si douce que j'ai passé la journée entière à me caresser. Je suis veloutée, satinée, adoucie et attendrie.
Et comment dire? Je m'adore tellement ainsi que j'aurai presque envie de moi!
Aujourd'hui, je m’offusque un peu toute seule parce que mon notebook , laissé à ma mère, a malencontreusement chu avec moult fracas. L'est cassé la brave bête... Mère m'a fébrilement accusé et j'ai pas apprécié parce sachez le, je suis innocente. Le coupable est toujours en fuite et toute la famille est en deuil.
Par ailleurs Lilith fut quelque peu déçue par Tournée, car même si les filles sont sublimes et la mise en scène, justement récompensée, magnifique, j'aurai aimé que le scénario soit moins tourné sur le personnage masculin et plus sur les fantastiques pin up. Cela dit, en sortant de la séance j'avais une folle envie de plumes.
[Via Baaabycakes]
Même si je suis un peu désaxée en ce moment mais j'ai réussie, après des heures et des heures de vagabondage webesque, à mettre sur pieds fixes ma prochaine escapade italienne. Vous en saurez plus en temps voulu.
Et ce matin, j'avais perdu le graillon accumulé en Autriche/Allemagne/Tchéquie. Je suis ravie ravie mais j’imagine que ça ne va pas durer étant donné que dès dimanche, c'est re-vacances. J'vous en reparlerez d'ici là mais sachez par avance que là bas, je serez toute molle.
Sur ce, j'ai besoin d'un homme.
Et bien voilà, je suis de retour dans mon humble chez moi parisien depuis jeudi. Je n'ai pas terminé mon racontage du voyage, mais ça viendra. Je préfère d'abord reprendre possession de mes pénates en toute quiétude. Et j'ai très envie d'un nouveau sac à main
.
Mercredi après un long trajet qui nous mena deDüsseldorf à la Bourgogne profonde, j'ai passé la nuit chez mes parents que j'ai été ravie de retrouver pour quelques heures. Et surtout, j'ai pu voir mes chats-fous qui y passent leur été. Après un peu de boudin envers ma personne (qui les a abandonné si longtemps), Midas et Bastet m'ont câliné à n'en plus pouvoir. Les deux minets me suivaient partout dans la maison, me grimpaient dessus dès que je m’asseyais et me ronronnaient dans les oreilles. Ça m'a réjouie. D'autant plus qu'ils ont minci mes minous et ça, c'était pas gagné. En revanche moi, j'ai bien engraissé pendant ce road trip, la faute aux plats autrichiens, allemands et tchèques tous plus conséquents les uns que les autres. Donc dès aujourd'hui, c'est régime.
Sinon il me reste des couronnes à changer en Euros, des pattes à épiler, des ongles à manucurer et des gens à retrouver. Et puis Bob l'éponge va commencer.
Je ne suis toujours pas là, je ne sais pas quoi vous dire à part que vous me manquez (sans doute). Admettons que je ne suis pas loin, et laissez moi vous faire part d'un secret. Je suis tombée raide dingue de ça:
[Des petites boules japonaises au wasabi qui piquent le nez et me permettent de dessouler].
Maintenant, je vous laisse cogiter avec la vérité sur les orgasmes parce qu'l faut avouer que ça peut toujours servir.
Comme le veut la tradition, je lance une bouteille à la mer pour Allo La planète, cette émission à laquelle j'ai dit adieu il y a quelques jours. Vous n’êtes pas sans savoir que le forum d'ALP avait réunis un grand nombre de personnes de partout dans le monde et moi-même, j'ai été surprise de l'impact de mon petit billet sur les auditeurs concernés. En échangeant avec eux, il s'est avéré évident que c'était à nous, fidèles de l'émission, de faire quelques chose pour la maintenir en vie de quelque manière que ce soit. Face au désarroi des auditeurs, j'ai envie de crier à la REVOLUTION MOBILISATION !
Alors quoi? Ouvrir notre propre forum? Ou un blog d'auditeurs afin que chacun puisse évoquer ses pérégrinations? Si l'émission doit revenir à la rentrée, sous une autre forme et sur une autre station, cela ne doit pas nous empêcher de maintenir en vie l'esprit d'Allô la planète, qui a fait beaucoup pour un nombre incalculable de personne au fil de ces quatre années.
Auditrice, auditeurs, lectrices, lecteurs, je vous le demande : Que faire, si ce n'est garder espoir ? En attendant, Rendez-vous sur la page FB d'Allô la planète
Lecteurs fidèles et nouveaux venus, soyez le bienvenus dans mon nouveau temple de l'élucubration. Comme vous pouvez le constater par vous-même, les choses n'ont pas trop changé et j'espère que vous ne serez pas trop perturbés/ déboussolés /perdus où que sais-je encore. Personnellement, je prends petit à petit contact avec ce nouvel interface et même si c'est chronophage, ça reste dans mon domaine de compétence.
Comme vous l'aurez peut être deviné en lisant mon billet d'hier, j'ai bel et bien décroché ma licence d'histoire de l'art avec une mention assez bien +++. j'ai tout pété les scores sauf pour UNE matière dans laquelle je me suis lamentablement vautrée et qui, par conséquent, m'a privé d'une meilleure mention. Et je vous le donne en mille, il s'agit bien de l'art déco! Apparemment, le prof n'a pas aimé la manière dont j'ai parlé des meubles de rangement. Et moi qui envisageait une carrière chez Ikéa, dépitée je suis.
En ce qui concerne mon léger problème d'irritation de l'entre jambe, j'ai vu le médecin qui m'a mise sous antibio qui rendent photo sensible. Alors, déjà que le soleil il est pas trop mon copain d'ordinaire, me voilà désormais allergique à ses rayons ! Si c'est pas un comble ça?! Du coup, j'ai sorti mon ombrelle et j'ai investi dans une crème à +50. Les UV ne passeront pas par moi !
(en même temps, c'est pas en Autriche que je vais m'y confronter).
Et si je vous faisais partager les petits plaisirs (presque) quotidiens de ma vie? (J'assume parfaitement l'égocentrisme de ce billet)
Même si je n'ai pas vu le défilé de la gay-pride (je passe mes après midi à comater comme un crabe au soleil), j'ai pus admirer des messieurs tout en couleurs et en froufrou au cours de la soirée de samedi. Qu'ils étaient beaux/belles avec leurs résilles, leurs boas, leur maquillage et leur loooongues chevelures! J'aurai tant aimer me joindre à eux, mais j'avais pas de truc en plume sur moi.
Et puis ces filles qui se promenaient tout seins dehors dans les rues du Marais, alors que la nuit n'était même pas encore là. J'ai adoré cette bonne ambiance, entre curiosités et sympathie, amusement, hystérie et surprise.
Même si je m'étais un peu froufrouté, je suis restée à ma table avec une amie, à boire des verres et à refaire le monde, à parler des hommes, d'art, de ciné et de littérature, un sourire béat à chaque fois que passait une diva.
Et malgré ma sagesse relative en cette soirée de la gay-pride, je souffre depuis deux jours d'une vaginite fulgurante. Donc dimanche, pas de ciné pour la petite Lilith. Pour la peine, j'ai fais des muffins, j'ai regardé True Blood et un Woody Allen, j'ai réfléchi à tout et à rien et notamment au fait que cette période de l'année a toujours été déterminante pour moi.
Sans remonter trop loin (pourtant je le pourrais), il y a trois ans je passais mon bac, affamée et sans vie. Et l'année suivante, j'ai (re)pris gout à la vie lors de mon séjour à Florence. Quant à l'année dernière, entre Florence (again), les premiers émois avec J. et l'envisagement de mon départ pour Paris, ma vie a encore prit un tournant.
J'y pense et y repense inlassablement, privilégiant les bons souvenirs sans effacer les mauvais pour autant. Ca me trottre dans la tête, "ça s'en va et ça revient" et pour autant, ça ne doit pas m'empêcher de profirter de l'instant présent.
Je suis bien trop nostalgique et le dimanche c'est encore pire. Du coup, j'ai repris un muffin et aujourd'hui je me suis fait des couettes.
De deux chose l'une. Sachez que je vais prochainement déménager sur OverBlog (parce que). Je vous tiendrai au courant alors ouvrez l’œil. Par ailleurs, si je ne post pas de vrai billet ici, c'est parce que vous pouvez me trouver sur Futiles, où je ne parle surtout pas foot.
A part ça? Rien. J'ai juste réussi à me faire flipper toute seule en attendant les résultats du dépistage, alors qu'il n'y avait aucune raison à cela puisque je suis méga-clean et que je le savais. Non mais n'importe quoi Lilith.
Et ma marraine est tombée dans les petits pois.
