Ce chat sera la fin de moi.

Nan mais vraiment, Midas = CAS SOCIAL!

Tu te souviens de son problème de n'oeil y'a un an. Et celui de l'autre oeil l'année précédente. Et bah rebelote cette année!

Gros ulcère sur la troisième paupière, sans doute parce que ce con de chat est allé engouffrer sa tête dans les plantes du voisin... Nan mais je te jure.

Du coup, véto, antibio, 10 jours de traitement et un gros trou dans mes finances! Et moi qui comptait sur le mois d'aout pour économiser...

Tu vas me dire que le principal, c'est qu'il ne soit pas devenu borgne, mais y'a toujours un risque que le traitement ne suffise pas et qu'il faille passer à la chirurgie oculaire... Et ça c'est tout de suite moins cool.

Donc voilà, à partir de maintenant, je saurais : tous les ans au mois d'aout, j'aurais une petite cagnotte exprès pour Midas parce que tous les ans au mois d'aout, il manque de se crever l'œil.

Je me demande si ça a un rapport avec...

Alors OUI, ce n'est pas qu'une impression, j'alimente pas vraiment le bloblog . C'est pas que ça ne me plaît plus, au contraire,  mais je me complique la vie toute seule ces temps-ci et j'ai beaucoup de mal à vivre avec moi-même. Et en plus, j'ai une crève terrible depuis presque une semaine (comment ça c'est pas une excuse?).

Nan mais crois-moi ou pas, j'ai très envie de me remettre à bloguer et à faire plein d'autres choses aussi. Faut juste que je retrouve un rythme de croisière. Le minimum vital du moins. On verra après la crève.

Nan mais quand même,et malgré tout, je voulais te tenir au courant de la bonne nouvelle qui a illuminé mon été et qui depuis, illumine chacune de mes journées.

Tu te souviens du terrible drame de ma vie survenu en avril dernier, quand mon Midas d'amour a disparu de la surface de ma vie ?

Et bien en plein mois d’août, soit plusieurs longs mois après, alors que j'avais fait mon deuil (avec difficulté), cet abruti de chat a refait surface ! En gros, j'ai reçu un appel du véto quoi m'a tout simplement dit d'aller voir telle personne qui l'avait retrouvé. Et cette personne m'a expliqué que depuis deux mois elle le nourrissait et qu'il voulait rentrer chez elle et qu'il voulait des câlins (oh mon gros bébé). Alors elle a vu qu'il avait un tatouage et l'a emmené chez le véto et voilà! Le coup de bol qui fut le mien, c'est que c'est arrivé pendant mon séjour estival chez mes parents et non pas alors que j'étais à Paris.

Donc Midas a passé 5 mois de sa vie dans le cimetière de la bourgade parentale, avant de me revenir tout amaigri, mais toujours aussi adorable. Au bout de 2h il m'avait reconnu et se prélassait sur mon lit. 

Les choses ont été plus compliqué pour Bastet, car après tout ce temps à l'extérieur, Midas 'avait perdu les odeurs de la famille. Aussi ne l'a-t-elle pas reconnu et l'a craché pendant pas mal de semaine. Pauvre Midas qui lui, avait reconnu sa copine et qui tentait des approches en douceur avant de se faire rejeter. Elle a même failli lui crever un œil !

Mais la cohabitation a fini par se faire et les choses vont de mieux en mieux chaque jour. Pourtant, j'ai l'impression que pour Bastet, Midas n'est plus le Midas d'avant, mais un nouveau chat qu'elle a fini par accepté au sein de son foyer. Les choses ont donc repris leur place.

Drôle d'histoire, hein ?

 Mon père quant à lui, soupçonne Midas d'être un extra-terrestre. Et je commence à lui donner raison.

Bon alors, où j'en étais dans mes périples bourguignons 

Ah oui, que j'avais plus de genou et que tu voyais pas le rapport!

Outre toutes ces précédentes folies, j'ai aussi déplacé mes ancêtres. Enfin leurs cadavres. Ou ce qu'il en reste. En fait, nous devions faire de la place au cimetière, donc on a porté le cercueil des vieux jusqu'au caveau familial. C'était lourd, mais marrant. Et inédit ! Du coup, le cousin de ma mère a, après notre départ, ouvert les cercueils pour voir à quoi ça pouvait ressembler... Si l'un des ancêtres était complètement décomposé (après 200 ans sous terre, c'est compréhensible), sa douce épouse était, elle, en très bon état. Il faut dire que son embaumement a été très bien fait. Normal quand on sait que je partage cette ancêtre avec Jean d'Ormesson!

Yo cousin !

Pour célébrer ce déplacement, la famille a fait célébrer une mini-messe privée à laquelle j'ai été forcée d'assister. Et quand il a fallut trouvé une jeune personne pour lire je ne sais quelle lettre de je ne sais quel saint, tous les yeux se sont évidemment posés sur celle qui faisait du théâtre. Et c'est ainsi que Lilith s'est retrouvé à déclamer les paroles d'un apôtre, à propos de l'amour du Barbu et de la manière dont la tentation c'est le mal, dans une petite chapelle bourguignonne.

L'expérience insolite par excellence!

La Tentation de Saint Antoine par Félicien Rops ( 1878)

Pour me remettre de ces macabres émotions, j'ai plongé dans la piscine des parents. Et j'ai pris BébéChien avec moi. Elle a aimé pendant 1minute 50. Quand je l'ai finalement sortie de l'eau, elle a passé 45 minutes à courir à travers le jardin. Impossible de la rattraper. Cette petite est moins conne qu'elle n'en a l'air!

Petit chien mouillé

Ultime péripétie qui 'aura valu une attaque cardiaque : L'œil de Midas.

Tu sais que mes parents ont une chatoune très chasseresse, très attachée à son territoire et plutôt misanthrope. Si la chatoune de mon frère avait réussi a l'amadouer en se roulant devant elle pendant 38 minutes, Midas lui a tenu a conserver son intégrité de mâle dominant. Enfin, dominant sur son petit harem (moi, Bastet et Hestia). Aussi, devant la Nienna de mes parents, il ne faisait pas vraiment le poids ; Ses 7 kilos de graisse de valaient pas grand chose face au 5 kg de muscle de la chatte!

Nienna, la belle démone

Pourtant, le bonhomme ne se privait pas de passer ses journées sur le territoire défendu de la tigresse. Jusqu'à ce qu'il rentre, un dimanche vers 20h, avec l'œil gauche tout fermé, tout gonflé, tout purulent...  PANIQUE A BORD chez Lilith!

Quand j'ai vu la pépite du chafous dans cet état, j'ai commencé à avoir des palpitations, puis j'ai chopé le bestiau en bafouillant des « mondieumondieumondieumondieu ». Sur le coup j'étais persuadée que l'œil était crevé. Et je ne pouvais supporter l'idée que mon chafou, qui a de si beaux yeux, allait se retrouver borgne comme un vilain JeanMarie.

Sans réfléchit, j'ai appellé le véto du coin qui a accepté d'ouvrir le cabinet en urgence pour mon bébé. Je lui ai apporté le fauve qui est resté tranquille, même quand le véto lui a inspecté l'intérieur de la paupière. Pour s'assurer qu'il n'y avait pas de corps étrangers derrière l'œil, le véto a décidé d'anesthésier la bête qui, en moins de 2 minutes 30, est devenu tout mou.

Midas sous anesthésie

Un inspection de l'œil en profondeur plus tard, le médecin reconnaît qu'il n'y a pas de corps étrangers, mais que le Midas a du se prendre une méchante beigne sur la paupière intérieure (Merci Nienna!). Il s'excuse même d'avoir endormi le fauve « pour rien ». N'empêche que moi, je préfère que le véto il vérifie tout avant d'émettre un diagnostique.

C'est ainsi que mes parents et moi même avons passé la soirée à veiller le gros Midas qui, une heure plus tard, émergeait douloureusement de son anesthésie. Il a bien mis 3h à recouvrer tous ses moyens et je dois avouer que c'était plutôt rigolo que de le voir tanguer d'un bout à l'autre du salon. Une semaine de traitement plus tard, son n'oeil était de nouveau étincelant!

Je te jure, j'ai jamais vécu de vacances aussi peu reposantes!

PS : Et encore, je t'ai pas parlé des découvertes traumatisantes de ma mère à mon compte...

Depuis mercredi, je suis dans un état végétatif aggravé. Et pour cause, je suis chez mes parents pour la semaine.

J'ai beau adoré mes parents, faut bien admettre que là où ils vivent, et où j'ai grandi, est vite étouffant. Et ça pas comme si y'avait beaucoup de chose à faire dans les environs. D'autant que parmi les personnes que j'aurais été ravie de retrouver, beaucoup sont en vacances loin, ou alors ils travaillent trop, et j'en passe.

Par conséquent, mes journées se suivent et se ressemblent entre siestes, apéro (vive la Bourgogne) et courses-poursuites avec Hestia dans le jardin. Hestia qui a d'ailleurs séduit mes parents. Sous le charme ils sont!

Faut dire qu'elle est vraiment craquante.

Et avec ça, elle grandit et murit de jour en jour. Jeudi, elle a poussé son premier aboiement et samedi, elle a même réussi à descendre à se vautrer dans les escaliers du perron.

Quoiqu'il en soit, Bastet a fini par accepter la présence de cette créature à ses côtés alors que Midas préfère la snober allègrement.

Sinon, Mère m'a emmener faire les soldes. J'en suis revenue avec deux paires de chaussures, une veste, une robe (Nafnaf) et un mini short en dentelles (Esprit).

Miam les nouvelles chaussures de maman (de chez André) !

Sur ce, je file. Y'a ma mère qui veut me parler des problèmes vaginaux de la bomme.

Un billet plein de larmes pour saluer le départ de Mélodie, la petite chienne de mes parents.

Mélodie, c'était une boule de poils remplie d'amour et de dévotion que j'ai vue naitre et grandir, que j'ai papouillée et bisoutée, qui m'a accompagnée tout au long de ma dure adolescence. Mélodie, ma petite soeur, tout simplement.

Mélodie c'était le caniche le plus gentil du monde qui ne demande rien d'autre que d'être aimé. Et en retour, elle aimait éperdument

Mélodie aura vécu 16 belles années parmi nous. 16 année de gémissement attendrissants, d'aboiement, de mâchouille, de fêtes après une journée d'absence, de courses folles dans le jardins, de rigolades et de regards larmoyant contre quelques morceaux de fromages.

Mélodie toute la famille l'a pleurée ce weekend.

"Heureusement", j'ai passé le weekend dernier chez mes parents, ce qui m'a permis de la voir une dernière fois – étrangement,  je savais déjà que c'était la dernière fois. Elle était toute maigre, faible et désorientée, mais elle ne souffrait pas.

[Mini-mouton]

Ce weekend, c'est mon frère qui est allé rendre visite à mes parents. Mélodie était toujours dans le même état à son arrivée vendredi soir. Mais pendant la nuit, sa démence l'a poussé par dessus la rambarde des escaliers (à moins qu'elle ne l'ait choisi elle-même). Elle a passé 15h dans les vapes, sans manifester la moindre souffrance et finalement, la décision a été prise samedi. Selon le véto, notre Mélo ne finirait pas le weekend... D'ailleurs, ¼ d'heure avant la piqure, elle s'était mise à convulser et à gémir de douleur.

[Boulette poilue]

Mélodie, elle a fait comme Argos, le chien d'Ulysse, dans l'Odysée ; comme lui, Mélo a attendu de nous avoir revu, mon frère et moi, avant de s'en aller. 

Avec elle, c'est aussi une grande partie de mon enfance qui s'est envolée.

RIP little sister...

      Depuis un peu plus d'une semaine, je suis très remontée, et contre plusieurs choses en plus.

Pour l'heure, je vais te dire ce qui me tracasse (j'adore ce mot) gravement : l'industrie alimentaire animalière. Dans ce milieu, j'ai l'impression qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, toutes les marques se valent. En gros, soit tu payes très cher ( environ 25E les 500 gr) la nourriture saine et de qualité chez le véto, soit tu prends de la bouffe pas trop chère (entre 3 et 6 euros les 500gr) en grandes surfaces, mais capable de foutre ta bestiole en l'air.

Moi j'ai deux chats, deux chats qui sont gros et qui réclament beaucoup de nourriture. Au point de m'empêcher de dormir. Et moi je les aime mes chats! Alors je vais pas de les envoyer chier. Sauf que mon Midas ( = mon mec), il est super sensible des reins et donc, si je lui donne du mangé pasain, il se tape de grosses infections urinaires.

Je te laisse imaginer le chat qui a la vessie qui brule. Le chat qui veut faire pipi mais qui y arrive pas et qui ne peut se vider que trois gouttes ici et là (jamais dans la litière bien sur). Le chat qui souffre tellement qu'il pleure des miaous toute la soirée et qui passe ses journées acroupi un peu partout dans l'appart'.

Ce genre de situation s'est déjà produit dans le passé, avant qu'un véto m'apprenne que certaines marques, et pas que les moins chers, avaient tendance à mettre beaucoup de sel dans leurs croquettes, parce que ça rend la chose plus gourmande ( Purina One pour ne citer qu'elle). Du coup j'ai toujours fait très attention à la manière ont je nourrissais mes bêtes. Et de toute manière, dès que je changeais son alimentation, Midas se pétais une méga sistite. Pas le choix donc.

Ça faisait 2 ans que je ne le gorgeais que d'une seule marque, toujours la même, Ultima. Parce qu'avec elle, jamais Midas n'a eu de problème. Et en plus (bonus) il adorait ça!  Mais voilà, y'a deux semaines et malgré la constance de ce régime de roi, Midas à recommencé à s'accroupir un peu partout et à miauler en mode souffrance.

[Mon Midas-chéri]

Alors soit mon chafou d'amour est devenu plus sensible, soit Ultima a changé sa recette pour y ajouter du sodium. Dans tous les cas, y'a un truc qui va pas.

Par conséquent, j'ai décidé d'oublier les croquettes au profit de la pâté. Même si mes chafous n'aiment que Sheba et Gourmet (qui sont chers), peu importe! Au moins, ils ne vont pas se bousiller les reins. Certes, ces produits sont aussi plus caloriques et c'est moyennement bien pour deux chats d'appartement déjà bien gras, ais je préfère avoir deux gros chat heureux que deux minets faméliques et souffreteux! (et faire des phrases à rallonge)

Tout ça pour dire que les gens qui produisent de la nourriture pour animaux, ce sont bien des enfoirés qui se foutent clairement de nous et qui profitent du légitime amour qu'on voue à nos bêtes pour nous saigner du porte monnaie.

C'est dégueulasse.

Et je profite du parler chat pour vous conseiller d'aller sur Yummypets, le Facebook ( d'origine française) des animaux : chien, chat, cheval, hamster, tarentule, écureuil y sont les bienvenus. Et où Midas et Bastetont déjà leur profil. Qu'est ce que vous attendez pour y ajouter vos z'amours de bêbêtes?

[Il va mieux oui]

Et aussi vous dire que Hellocoton a fait un chouette dossier sur les blogueuses à chat (même si mes chafous sont pas dedans, le dossier vaut le détour).

Et pour finir, parce que j'aime autant les chats que les chiens :

Avec le beau temps annoncé, le weekend s'annonçait bien même si il avait moyennement commencé. En effet, vendredi soir je me suis vilainement brulé le cuissot avec le fer à repasser.Vous allez dire que ça m'apprendra à faire du repassage en p'tite culotte, mais avouez que c'est moche...

Mais heureusement, la balafre n'a pas entamé ma bonne humeur ni mon impatience de recevoir le nouveau canapé. Celui-ci est arrivé avec une heure d'avance samedi matin, dans les bras d'un livreur lubrique (on en reparlera), alors même que j'émergeais d'une trop courte nuit de sommeil. Ravie de mon nouveau bien, je passais alors l'après-midi tranquillement (et caniculairement) allongé' dessus, à regarder All you ever wanted to know about sex, de notre Woody préféré.

Une fois le film terminé et la chaleur baissée, je m'en suis allée retrouver mon amie Tatiana, pour une soirée papotage girly en terrasse. La nuit venue, je m'en retournais par chez moi en Vélib. Sauf que j'avais pas pensé à prendre une paire de chaussures plates avec moi et que les talons de 12' sur les pédales, c'est moyen sécure. Du coup, j'ai ôté mes pompes et c'est la mini-jupe au vent et les orteils en éventail que j'ai tracé ma route, un peu bourrée et pleine de joie (parce que faire du vélib' pied nu la nuit, c'est un plaisir comme un autre).

Le lendemain, j'ai affronté la canicule pour me rendre aujardin des plantes, plus particulièrement à la ménagerie. C'est fou, moi qui adore les grosses bêtes, je n'y avais pas mis les pieds depuis plus de 8 ans ! Et j'y ai passé un excellent après-midi rempli d'émerveillements, même si je regrette de ne n'avoir eu sur moi que mon téléphone pour prendre des photos.

J'ai flâné avec des oiseaux de toutes les couleurs avant de m'émerveiller devant les grosses araignées poilues. Quant aux serpents, j'avais juste envie de les prendre dans mes bras et j'aurai pu passer des heures entières à les observer, fascinée. Je me suis aussi prise d'affection pour un iguane et un varan de toute beauté.

Quand je me suis retrouvée devant le troupeau de cochons d'Inde, j'ai compris qu'il s'agissait là du garde-mangé des reptiles sus-mentionnés. Ce qui ne m'a pas empêché de pousser des "hiiiiii, tromigon" devant ces boules de poiles grinçantes. Après quoi, j'ai sympathisé avec une chèvre ( je vous ai déjà dit que je rêvais d'avoir une chèvre?)( sérieux ces bêtes là c'est un peu comme des gros chiens en fait) et je me suis trouvée un amoureux en la personne du dromadaire.

Comme la magnifiquepanthère des neiges avait trop chaud, qu'elle tirait la gueule et que, de toute façon, j'aurai pas pu lui faire des câlins ni même caresser ses grosses patounes, je suis allée voir les singes. Et là, je dois avouer que les orang-outans sont des animaux merveilleux. Le gros sage sur son bidon bleu, il était trop blasé par le monde, mais quand je lui ai fait "coucou", il s'est réveillé, surpris, et m'a regardé avec ses grands yeux pendant une bonne minute.

En fait, c'était à cause de mes cheveux qui sont de la même couleur que ses poils. Alors quand il a compris que malgré mapilosité capillaire, je n'étais pas singe, il a détourné son regard pour mieux examiner autre chose : un monsieur qui lui présentait son ipad. L'homme en question avait filmé le singe avec et montrait la vidéo à l'animal qui a trouvé ça passionnant (plus que mes cheveux en tout cas).

Pendant ce temps, son compagnon de cage essayait de se protéger du brumisateur automatique. Pour cela, il avait chopé un morceau de carton qu'il tentait, en vain, de faire tenir sur sa tête. Bien que ce chapeau lui allait à ravir, il n'y avait pas moyen de le faire tenir. Dépité, monsieur singe en a fait des confettis.

Conclusion : je veux un zoo privée dans lequel je pourais faire du vébil toute nue.

Bonus : d'autres photos sur mon TumblR