Il serait peut être temps que je mette fin à ma « trêve des confiseurs » personnelle, non?

Je commence donc par te souhaiter une méga-bonne-année avec plein de belles choses dedans, du bonheurs, de la baise, des chocolats, des fou-rires et des réussites. Et du pognon aussi. Plein!

Pour ma part, 2013 a plutôt bien démarré ; on a très bien mangé – j'avais les gougères de ma copine Amy - très bien bu ( qui a dit trop?), vachement  rigolé et on s'est tous fait des super-câlins en pleine rue pour se souhaiter la bonne année. J'ai aussi fait des câlins à des inconnus qui étaient ravis. Et j'ai aussi voulu en faire aux agents de la police qui nous épiaient. Mais ils m'ont envoyé chier les vilains.

Après je me souviens plus trop de ce qui c'est passé. Juste que je suis tombée un bon paquet de fois, qu'un videur a pas voulu me laisser entrer parce que j'avais soi-disant trop picolé (non mais où il a vu ça lui?), que j'avais trop mal aux pieds et que sur le chemin du retour, j'étais pieds-nus sous la pluie, à 4h et des poussières.

Le lendemain en rentrant chez moi, j'avais plus de porte-feuilles... ça te rappelle pas un truc ça?!

L'année s'annonce mouvementée...

Je suis navrée mais, même si j'ai plein plein de trucs à te raconter, je suis tellement surbookée que je suis plus très loin d 'un état proche de l'Ohio. Donc tu cois, malgré toute ma bonne volonté, et Dieu sait que j'en ai, j'ai pas le temps de t'en écrire des tonnes. Et y'a ma tête qui explose du dedans, rapport à une vieille migraine qui m'assaille depuis quelques jours.

Pour te faire passer le temps, je te propose une petite série de clichées prisele soir du Réveillon.

Parait que je laisse trop trainer mes pattes

Mes grignotons

Instant tartines

J'assume totalement le narcissime de ce billet

Crédits photos : ©Petite Parisienne

J'ai acheté des Carambars dans l'idée de faire de la vodkarambar. Du coup, j'ai passé ma soirée en mode blague Carambar. Voyez plutôt.

• Où se trouve le site internet le plus loin? - A Babelweb

• Quel SMS envoie une biquette pour dire qu'elle s'en va? - Gigot

• Deux bombes discutent : « RDV à 5heures pétantes! »

• Deux escargots font du sport : « Alors cette course? » - « J'en ai bavé! »

• Quel légume va très vite et rigole dans les virages? - Le chou marreur

• Qu'obtient-on en étirant un œil? - Une longue vue

• Quelles lettres sont toujours en panne? - H , S

• Que font deux guitares déprimées? - Un coup de blues

• Quel est le film préféré des oranges? - Pulpe fiction

• Deux vaches discutent : « dis donc, t'as de gros pis! » - « De quoi j'mamelle? »

• Quel acteur est une copie de lui-même? - Georges Cloné

• Deux chaussettes se croisent : « Salut, comment tu te sens? »

(quand je pense que y'a des types qui sont payés pour écrire ça)

Venons-en maintenant au clou de ce billet : le concours ( \o/ wééééééééé!). Comme je viens de vous le dire, j'ai fais de la vodkarambar. Pour l'instant elle repose tranquillement, mais elle sera prête d'ici mon retour d'Autriche, soit fin décembre. Pendant ma préparation, j'ai eu la délicieuse idée d'en mettre dans une bouteille de 20cl, bouteille que je vous propose de gagner.

Alors ami vodkaphile, toi qui es gourmand et plein de ressources, tente ta chance : Raconte-moi une blague encore plus drôle (ou plus pourrie) que celles des Carambars, et celui d'entre vous qui me fera le plus marrer gagnera sa bouteille!

Évidemment, ce choix sera totalement subjectif (y'a pas de main innocente par ici).

On va dire que t'as jusqu'au 28 décembre à minuit pour participer, réponse le lendemain!

Fais moi rire!

C'est avec une tête de phacochère hémophile que j'écris ce billet. Son incohérence est donc tout à fait logique. Parce que en fait, hier y'avait une grosse fête chez un copine qui faisait ses adieux à son appart. Du coup j'y ai apporté deux-trois trucs à manger et du vin que j'ai vite éclusé. Trop vite.

A 20h45, j'entamais mon premier verre.

A 21h30, j'achevais le troisième.

Après j'ai arrêté de compter. En revanche j'ai parlé à plein de gens, j'ai fais plein de sympathiques connaissances, j'ai raconté ma vie sans intérêt à des inconnus, j'ai dis énormément de bêtises dont je ne me rappelle plus le sujet, j'ai fumé énormément de cigarettes, j'ai roulé quelques pelles et j'ai dépassé l'heure que je m'étais imposé pour rentrer (Cendrillon style).

Quand j'ai commencé à voir double, j'me suis dit qu'il était temps. J'suis donc allée attendre le noctilien mais au bout d'un moment, je me suis aperçue que monétat d'ébriété avancé m'empêcherait sans doute de retrouver le chemin de chez moi après le bus. J'ai donc annoncé bafouillé aux inconnus de l'arrêt de bus que finalement, je prendrais un taxi. Dans toute leur bienveillance, ces messieurs-dames m'en ont arrêté un (je devais vraiment avoir l'air pété), j'ai donné mon adresse et nous avons filé.

Alors que nous passions la Seine, j'ai senti monter en moi une irrépressible envie de vomir. J'ai prié Dieubouddhalla pour tenir le coup jusqu'à ma rue, mais je préparais quand même mon sac à main, au cas où. Heureusement, j'ai tenu. En sortant du taxi qui m'avait posée au coin de ma rue, j'ai repéré les 5 mètres qui me séparaient de la porte de chez moi.... je sais pas comment j'ai fait mais j'ai réussi à les parcourir sans encombres (sauf les poteaux qui venaient systématiquement se cogner contre moi). Je me rappelle être rentrée mais après, black-out jusqu'au moment où ma tête pendait au dessus de la cuvette des toilettes.

Le lendemain matin, à 9h30, c'est dans un état trop proche de l'Ohio que j'allais à unentretien d'embauche, celui avec ma presque-future-patronne. Alors que les cheveux me poussaient à l'intérieur, les employés présents m'ont annoncé que ladite presque-patronne n'était pas là aujourd'hui, qu'elle n'avait pas été informée de notre entretien et que je devrais revenir lundi. Reprenant le chemin vers mon lit, nouveau black-out.

De nouveau sous ma couette, j'ai compris que j'étais encore bourrée.

Avant tout, je me dois de proclamer un maxi-géant MEA CULPA. Mes colocs peuvent boire, pas mal même. Sauf une qui, elle, ne boit vraiment jamais (!?). Seulement, ils boivent des Cuba Libre et seulement le vendredi soir. Avant d'aller en boite. Alors de deux choses l'une : je n'aime pas les Cuba Libre et de plus, je ne vais plus en boite depuis plus de deux. Et même à l'époque c'était rare. Encore une occasion manquée de resserrer les liens communautaires.

Non j'exagère puisque nous avons passé une partie de la soirée à l'appart, à papoter tous ensemble. Ils sont marrants mes colocs, surtout quand ils picolent. Je regrette seulement de ne pas assez maitriser assez l'italien pour entretenir une véritable conversation. Je comprends très bien ce qu'ils racontent, mais dès que j'ai un truc à dire, c'est bien plus compliqué. Comptons 3 minutes pour deux phrases correctes. Ouais je sais, y'a encore du boulot. Per fortuna, ils sont vraiment sympa et même si on ne partage pas les mêmes délire, on s'entend très bien.

Vendredi, ils sont donc allés en boite pendant que je divaguais sur le web, et l'une des coloc' s'est fait voler son porte-feuilles. L'avantage c'est que je me sens moins seule. D'ailleurs faut que j'aille voir la poliziacet après midi. Quant à ma Visa, mon frère adoré fera l'intermédiaire entre la banque et moi (via la Poste).

Tout cela, ce n'est que broutille face à la chance d'être à Rome, surtout avec un temps pareil! J'envisage une belle balade aujourd'hui, à travers le Trastevere. Limitation pécuniaire oblige, je ne fais pour l'instant que les visites ne nécessitant aucun déboursage financier : promenades et églises principalement. C'est déjà beaucoup dans un lieu comme celui ci!

Et dimanche, je ferai du pain perdu à mes collocs. Sur qu'ils vont kiffer.

Et toujours mes photos romaines ici