Halloween approche à tel point que je peux aujourd'hui parler de J-1. Je tente donc d'organiser un peu tout ça, faisant ma liste de mets à préparer, du nombre de bouteilles à prévoir et de bonbons à acheter. Parce qu'avec les marmots qui courent à l'étage au dessus et ceux qui font chier qui crapahutent dans ma rue, je sens qu'on va venir me quémander des Haribos. Et comme je ne suis pas farouche (enfin seulement le soir Halloween), je compte bien répondre aux attentes des mômes. Même si ils sont moches.
Non parce que moi aussi j'ai été gosse et moi aussi à l'époque, je faisais chier mes voisins déguisée en sorcière, pour avoir mon lot de Nounours en gélatine. Ça me rappelle cette année de mes 9-10 ans, où j'avais tout bien organiser ; durant la semaine précédent Halloween, j'avais fait le tour du quartier afin de glisser dans les boites aux lettres des prospectus annonçant la venue prochaine d'une bande de farfadets (moi et mes amis), à la recherche de gourmandises. Le résultat avait été payant car le D-Day, notre récolte prenait toute la table de la salle à manger. Qu'est ce que j'avais été fière de mon plan machiavélique consistance à jouer sur la culpabilité des voisins.
Tiens, et si je me déguisait en fraise tagada cette année?